De l’utilité d’une bonne orthographe

À l’heure où le prochain concours des « Timbrés de l’orthographe » vient d’être lancé, on peut se demander quel rapport les français entretiennent avec leur langue. Il est d’usage de dire que « le niveau baisse », que les français sont fâchés avec leur orthographe. Mais est-ce vrai ? Il semblerait que oui… En effet, selon le dernier baromètre du programme Voltaire, paru en juin 2015, seules 45% des personnes maîtrisent les principales règles d’orthographe. Elles étaient 51% en 2010. Si l’on affine les résultats, en 2010, 52% maîtrisent les règles grammaticales et 53% les règles lexicales. En 2015, ces chiffres tombent à 46% et 44%.
Il est à noter qu’un écart existe selon le sexe. Les femmes sont plus performantes en orthographe que les hommes et cela se remarque déjà au niveau de la scolarité. Au collège, 28% des filles contre 24% des garçons sont à l’aise dans les exercices d’orthographe, ces chiffres étant de 48% contre 43% à l’âge adulte.
Écart également selon les régions. Les meilleurs se retrouvent dans le Sud-ouest avec, en tête, l’Ariège, l’Aude et les Pyrénées orientales. Au total, 9 départements du Sud-ouest figurent dans les 14 premiers du classement.
Plusieurs explications ont été données à cette chute du niveau de l’orthographe, parmi lesquelles l’abandon de la dictée à l’école primaire et les nouvelles technologies (usage des SMS notamment). Si la première raison invoquée semble couler de source, il n’en est pas de même pour la seconde. En effet, plusieurs chercheurs ont démenti cette affirmation. Parmi eux, Danièle Manesse, professeur de sciences du langage à la Sorbonne nouvelle, écrit : « Le langage SMS n’influence pas l’orthographe. Les élèves savent qu’ils utilisent un code, un langage secondaire. La baisse du niveau en orthographe serait plutôt le résultat du peu de temps consacré à l’étude de la langue à l’école. »
Pourtant, selon une enquête Ipsos de 2014 pour les éditions Le Robert, 9 français sur 10 affirment être choqués lorsqu’ils constatent des fautes d’orthographe dans les courriers administratifs. De même, 84% sont gênés de commettre des fautes et pensent que cela nuit à leur image. Un sentiment de honte s’installe. En effet, une bonne orthographe est un marqueur social positif, elle fait partie des comportements sociaux que l’on doit avoir. Pour pouvoir maîtriser l’orthographe, nombre de personnes ont ainsi recours aux correcteurs d’orthographe. Cependant, force est de constater que ceux-ci ne sont pas toujours au point et ne signalent pas certaines fautes. Rien ne vaut dans ce domaine, l’œil acéré d’un professionnel.
Si votre orthographe approximative vous préoccupe, elle peut également vous pénaliser lors d’une recherche d’emplois par exemple. Pour que vos lettres de motivation et vos CV soient irréprochables, faites appel à un écrivain public. Spécialiste de la langue écrite, il saura pallier vos difficultés et vous fournir un travail soigné. Ainsi, vous mettrez de votre côté toutes les chances de réussite.


Le projet Voltaire est un logiciel d’entraînement à l’orthographe, composé de tests et d’exercices et créé par un comité d’experts, dont le champion du monde d’orthographe, Bruno Dewaele. Plus de 200 centres d’examen en France font passer les épreuves pour lesquelles les candidats reçoivent une certification reconnue et appréciée par les recruteurs.
Manesse, Danièle « Orthographe, à qui la faute ? » ESF éditeur, 2007.

Vœux de bon anniversaire

Bientôt, votre époux, votre épouse, votre enfant ou votre meilleur(e) ami(e) va fêter son anniversaire. Pour ce jour important, vous souhaitez lui écrire quelque chose de gentil, de tendre ou d’humoristique, un texte émouvant qui le touchera, le charmera et qu’il gardera précieusement comme symbole de votre amour ou de votre amitié.

Mais vous avez peur d’être maladroit(e), de ne pas parvenir à mettre sur le papier les idées qui se bousculent dans votre tête. Vous voulez que ce texte soit vraiment réussi. Je peux l’écrire pour vous !

Que ce soit un texte classique, en prose, un poème en alexandrins ou un sonnet, je vous prête ma plume pour coucher sur le papier les sentiments que vous désirez exprimer. Je vous offre aussi la possibilité d’inclure des illustrations ou photos (montage réalisé à l’extérieur, facturé en sus) pour un résultat selon vos désirs. Ci-dessous, un exemple de ce que je peux proposer (poème en alexandrin pour l’anniversaire d’une passionnée de théâtre) :

Sous les feux de la rampe tu avais décidé

Un beau jour de septembre d’élire domicile.

Si tu te doutais bien que ce s’rait difficile

La passion de la scène avait tout balayé,

Et confiante et joyeuse tu t’étais jetée

Dans les textes classiques de tes glorieux ainés.

On te fit boire enfin l’eau pure de La Fontaine,

On te fit côtoyer animaux par centaines,

On te présenta même un dénommé Molière

Tu connaissais déjà, et pas juste d’hier.

Pourtant il te sembla en fait bien différent

Rajeuni et poli d’une aura sans pareille,

Tout comme l’autre aussi, le célèbre Corneille.

Et comme il t’était doux et très désaltérant

De t’abreuver ainsi aux textes des anciens !

Découvrir leurs richesses et puis nouer des liens

Avec ta vie d’ici, tes tristesses et tes joies,

Vivre leurs émotions par le biais de ta voix.

Exprimer leurs tourments, leurs préoccupations

En scènes ciselées ou improvisations.

Si certains jours parfois, pointe une lassitude

Une envie de jeter tes rêves aux quatre vents,

Ce n’est jamais, oh non, jamais pour très longtemps !

Et voilà qu’aujourd’hui avec exactitude,

Le jour de ta naissance et la fin de l’année

Viennent en comité te dire : « tu es née » !

Née à la vie, née au théâtre et née aux mots,

Suivie, accompagnée de tous les animaux

Contés par le poète, sur une scène, offerte                       

Tu les feras venir, par la porte entr’ouverte,

Se présenter devant le jury enseignant,

Une audiction parfaite et un final gagnant.

En attendant ce jour de mystère et de gloire

Où de ton talent tu pourras te prévaloir,

Je viens te souhaiter un bon anniversaire

De l’amour, du bonheur, des succès bien sincères !

Ateliers d’écriture

Écrire… Vous vous dites peut-être que ce n’est pas pour vous, que vous ne saurez jamais, que c’est trop compliqué, que vous n’aurez pas d’idées… Ou bien, au contraire, rêvez-vous depuis longtemps d’essayer, sans oser. Peut-être même écrivez-vous depuis l’enfance. Mais vous n’en parlez pas, c’est votre domaine secret, et puis vous êtes persuadé que cela n’intéressera personne. Pourtant, vous aimez lire et découvrir d’autres univers, d’autres cultures, vous aimez être transporté ailleurs grâce aux mots des autres. Finalement, vous vous dites que, peut-être… pourquoi pas…

Que diriez-vous, alors, de participer à un atelier d’écriture ? De libérer les mots qui sont en vous ? De les confronter à ceux des autres, dans une ambiance conviviale et sans jugement ?

J’ai moi-même participé à plusieurs ateliers d’écriture, je suis auteur de nouvelles, de romans pour la jeunesse et de pièces de théâtre. Par ailleurs, mes études de lettres (maîtrise de lettres modernes), mon diplôme d’État d’écrivain public (licence de la Sorbonne Nouvelle), ainsi que l’exercice du métier de bibliothécaire pendant de nombreuses années me donnent les compétences nécessaires à l’animation d’ateliers d’écriture.

Outre les ateliers que j’organise, je propose aussi des « séances à domicile » : il vous suffit de réunir cinq personnes, de choisir un lieu (l’appartement de l’un des cinq participants) et je viens chez vous, avec mes mots, animer votre atelier.

Les séances sont d’une durée de deux heures – mais toute proposition est la bienvenue – pour un tarif de 40 euros par personne.

Plusieurs thématiques sont possibles, je m’adapte souplement aux demandes. Me consulter.

Vous avez dit bénévoles ?

ecrivain public benevoleParmi les écrivains publics, un nombre considérable est fait de bénévoles. Certes, dans nombre de domaines, il existe des bénévoles : associations de parents d’élèves, clubs de sport, restau du cœur, etc.

Pourtant, être écrivain public est une profession. Un diplôme existe, de niveau Bac+3, la licence professionnelle « conseil en écriture professionnelle et privée-écrivain public ». D’autres formations, non diplômantes mais formatrices, existent. Écrire pour les autres demande des compétences que l’on acquiert par le biais de ces formations. Cela ne s’improvise pas. Comme pour tout métier, les professionnels qui exercent doivent être rémunérés. Parce que, comme on dit, « tout travail mérite salaire ». Pourtant, il suffit d’aller faire un tour sur le net pour constater le nombre de demandes gratuites effectuées par les internautes. Mais, viendrait-il à l’esprit de ces gens de demander au boulanger qu’il leur donne leur baguette ? Au médecin qu’il les soigne gratuitement ? A l’artisan qu’il vienne faire leurs travaux sans leur demander paiement en retour ? Pourquoi alors demander à un écrivain public de rédiger leurs écrits gratuitement ? Pourquoi, alors qu’il existe des professionnels pour ce métier, y a-t-il aussi des bénévoles ? Il n’y a pas de boulangers bénévoles, pourtant… La qualification, la compétence et l’expérience se paient. Le diplôme est un gage de qualité. Ne confiez pas vos travaux écrits à n’importe qui, faites appel à un professionnel qualifié et diplômé. Il étudiera toujours avec vous les tarifs qu’il vous demande.

Le métier d’écrivain public

Le plus vieux métier du monde, dit-on, en partage avec un autre, dit-on aussi, est toujours d’actualité. Plume au service des autres, l’écrivain public écrit pour celui qui ne sait pas, mais pas seulement. Il rédige aussi pour l’étranger qui ne maîtrise pas la langue française, pour celui qui est fâché avec l’orthographe, pour celle qui n’a pas le temps, pas l’envie et qui préfère que le courrier administratif, la lettre de remerciement, celle de réclamation ou le discours de départ à la retraite soient bien tournés.

L’écrivain public rédige aussi des textes de présentation (associations, entreprises, spectacles…) des communiqués de presse, des dossiers divers, des articles, des critiques littéraires… A la lisière de plusieurs autres professions, dont les rédacteurs et les correcteurs, il peut effectuer les mêmes missions, ponctuellement.

Ses domaines d’action vont du social au culturel, en passant par l’administratif et sont souvent induits par le profil de celui qui exerce le métier. Un juriste de formation sera à l’aise dans l’administratif et le judiciaire, en Maison de Justice et du Droit par exemple, alors qu’un littéraire écrivant par ailleurs de la fiction, évoluera sans problème dans les milieux culturels.

Ce métier qui s’avère éminemment utile en temps de crise n’a pourtant pas de statut. Il n’est pas réglementé. Assuré dans de nombreux endroits par des bénévoles, il s’agit pourtant bel et bien d’une profession pour laquelle un diplôme d’État existe.

Celui-ci se prépare à la Sorbonne Nouvelle. Il s’agit de la licence professionnelle « Conseil en écriture professionnelle et privée-écrivain public ». Les cours théoriques sont regroupés sur deux jours (en principe les jeudis et vendredis) et le reste de la semaine est consacré aux stages (400 heures sur l’année). Des conférences et visites sont aussi organisées. Le fait que les cours soient regroupés sur 2 jours facilite les choses, pour les gens de province ne souhaitant pas résider à l’année à Paris. Ils peuvent ainsi choisir de faire leurs stages près de chez eux.

Pour pouvoir faire cette formation, il faut avoir au minimum un bac + 2. En 2012 quand j’ai passé le concours, il fallait constituer un dossier expliquant les motivations et l’intérêt que l’on portait à la formation et au métier d’écrivain public. Quel parcours nous avait amené à vouloir faire ce métier, quelles étaient les compétences que l’on pensait avoir pour y réussir, etc. Une première sélection était opérée à la lecture de ces dossiers. Si l’on était sélectionné, on devait passer une épreuve sur table, un résumé de texte en temps limité, puis, la même journée, un entretien avec un jury de 2 professeurs. Une seconde sélection était effectuée, avec proclamation des étudiants retenus (24 cette année-là, et 6 en liste d’attente, en cas de désistements : il y a eu 4 désistements)

Voici le lien vers la formation :

Écrivain public

Quant à mon profil, j’ai fait des études de lettres (maîtrise, actuellement Master 1) et j’ai un diplôme de bibliothécaire (j’ai exercé 20 ans en bibliothèque municipale). Je suis aussi auteur de nouvelles, romans pour enfants et pièces de théâtre. J’écris depuis l’enfance, c’est une seconde nature pour moi et le fait d’allier écriture professionnelle, destinée aux
autres et écriture littéraire, était pour moi un excellent compromis. Je peux ainsi écrire dans tous les domaines, ce qui était mon objectif de départ. Me diversifier le plus possible, ne pas me spécialiser dans un seul domaine était mon but. Certains se destinent exclusivement à l’écriture « sociale ». C’est un choix personnel mais la formation de la Sorbonne, parce qu’elle est large, permet de pouvoir aborder tous les domaines et d’adapter son projet professionnel au mieux.

Dans le secteur social, il y a possibilité de travailler dans les mairies, les maisons de justice et du droit (MJD) les associations… Ce sont des permanences où le public vient gratuitement pour que l’écrivain public rédige ses courriers, permanences rémunérées par l’administration qui la crée. Mais il s’agit rarement de temps plein, il faut donc cumuler plusieurs permanences dans plusieurs villes ou associations pour pouvoir avoir un temps plein. En dehors du social, on peut rédiger des écrits pour tout type de structure, il suffit de décrocher des contrats ! La plupart des écrivains publics sont en libéral et proposent leurs services un peu partout.
Cela demande pas mal de pugnacité. Il faut également savoir « se vendre ».

Personnellement, je me suis constituée en auto-entreprise en octobre dernier, j’ai créé mon site et ma page facebook, je distribue des cartes de visite, j’en parle autour de moi… J’ai eu quelques contrats de particuliers, pour des montages de dossiers, des courriers et des corrections de mémoires. J’ai aussi depuis peu, l’écriture d’une biographie. Il ne faut pas se laisser démoraliser par les refus, ce qui arrive, hélas ! Si vous avez plusieurs « casquettes » et plusieurs cordes à votre arc, c’est mieux, parce que cela permet de multiplier les contrats en intervenant dans des domaines divers. J’aimerais, pour ma part, me diversifier au maximum.

Récit d’événement, récit de vie…

« Le récit de vie est l’une des pratiques les plus courantes de la conversation ordinaire : souvenir d’enfance, récit de voyage ou de vacances, incident de notre vie, événement vécu font partie des échanges quotidiens. Le contexte de l’échange de paroles favorise l’expression et détermine le choix : repas entre amis à l’occasion d’un retour de vacances, fête familiale, compte rendu de mission en milieu professionnel sont quelques-unes des situations propices à la narration. Ce sont des tranches de vie qui s’échangent entre convives ou collègues, se croisent selon des styles de langage et des rituels de parole dans lesquels se jouent et se construisent ce que le philosophe Paul Ricœur appelle des « identités narratives », identités personnelles mais aussi identités familiales, associatives, professionnelles, religieuses, nationales, etc. Sur le plan personnel : « Je me raconte, donc j’existe et j’atteste de mon existence aux yeux des autres dans les récits de ma vie ». Sur le plan collectif, les célébrations, les commémorations, sont des « lieux de mémoire » et d’élaboration de nos identités collectives.

A moins d’être transcrits ou recomposés, les récits oraux disparaissent avec les occasions qui les ont vu se former. Avec l’écriture se constitue l’histoire. L’écriture permet en effet que se créent des archives où la mémoire des hommes s’inscrit dans la durée. »

Article extrait du dossier n°188 « L’écriture de la vie » novembre 2003 de la revue Quart Monde, par Patrick Brun.

Je travaille actuellement à la biographie d’une personne qui désire, à la moitié de sa vie, laisser un témoignage à ses proches, plus particulièrement à sa fille. Ayant eu une vie riche en événements personnels et professionnels, il est en partie autodidacte, a beaucoup voyagé et désire laisser à sa fille un message d’espoir et de confiance en la vie. Ce bilan à mi-parcours lui permet de s’exprimer sur ces événements, de donner sa vision des choses et d’expliciter sa philosophie de vie. Je travaille principalement sur enregistrements, un peu sur une base déjà écrite et je complète les informations grâce à des contacts téléphoniques avec la personne en question, qui n’habite pas dans ma région.

Concrètement, après une première phase de travail qui a consisté en la transcription des enregistrements, j’ai complété tous les éléments par les indications de mon client puis je les ai mis en forme, pour en avoir une vision cohérente. Le plan du travail est en cours d’élaboration puis viendra le temps de la rédaction proprement dite. Je suivrai l’ordre chronologique, tout en insérant des parties thématiques dans le récit. A noter qu’il est important de procéder par étapes bien déterminées et de présenter au client le travail effectué, au fur et à mesure de son avancement, pour approbation. Ce récit de vie est le sien, je ne suis que la main qui va le mettre en forme, selon les désirs de l’auteur et sa propre vision des choses. Écoute, tact, curiosité, empathie, sensibilité et humanité sont, en plus des compétences littéraires, les qualités indispensables pour mener à bien cette biographie, dans le respect total et le non-jugement du client.

Si, comme mon client actuel, vous désirez faire écrire le récit d’un épisode important de votre vie ou de votre enfance, de vos voyages ou bien de la création et l’évolution de votre entreprise, faites appel à mes services d’écrivain public. Je propose une écoute attentive et un travail sérieux, en collaboration étroite avec vous et dans le respect de vos souhaits. Pour tout renseignement, sans engagement, contactez moi !

Jeu de mots, mots en jeu…

Ça vous dirait, un petit jeu ? Avec les mots suivants, écrivez un petit texte, humoristique ou poétique, ne dépassant pas 500 caractères, espaces comprises. Mes préférés seront publiés sur ce site. A vos plumes !

équilibre, autoritaire, parallèles, homme, retour.

Envoyez vos textes en pièce jointe sur le mail suivant : contact@gcm-ecriture.com

Et nous commençons par le texte de Sachka :

Nuit ensoleillée

L’homme de la Nuit se tenait en équilibre sur des barres parallèles
Beau, léger, éphémère, il regardait là-haut
Le retour du Soleil, autoritaire et inévitable, l’éblouit
Il vacilla, trébucha et tomba dans une myriade d’étoiles
La femme du Jour ressuscitée lui sourit
Elle était grande, elle avait des ailes presque parallèles
Grâce à elle, l’homme de la Nuit remonta dans les airs
En équilibre, il s’envola, le regard ensoleillé.

Le texte de Juliette :

Les cailloux qui pleurent

C’est le retour des vacanciers et l’homme va encore me piétiner, moi le galet
Souvent, sans le faire exprès, je blesse le pied et d’un coup de talon autoritaire
On me place de sorte que l’équilibre soit retrouvé
Face à la mer, les estivants contemplent l’écume des vagues
Et nous écrasent avec leurs pieds parallèles
Voici la complainte des galets malmenés

Le texte de Suziwan :

Équilibre

Je me remets progressivement aux barres parallèles. C’est difficile après une année de repos forcé. L’an dernier, j’avais réussi après de difficiles et longs entraînements à me qualifier pour les Jeux Olympiques. Malheureusement, dès la première qualification à Londres, j’avais perdu l’équilibre et m’étais cassé le bras droit. Mon coach est un homme autoritaire et très compétent. Je suis confiante, les JO de 2016 à Rio marqueront mon retour sur la scène internationale.

Nouveau thème d’écriture : quand vous parlez de quelqu’un, vous dites souvent : « Tu sais, celui qui… ». Vous allez donc écrire un court texte (2 ou 3 phrases) qui commence par « celui qui » ou « celle qui », décrivant brièvement la personne. A vos plumes !

Texte de Khéops :

Celle qui se plaint sans cesse de son emploi et qui pourtant, y travaille encore.

 Elle, il ne faut pas lui demander si ça va le matin, parce que ça ne va jamais ! Elle dénigre ses employeurs, ses collègues et les usagers. Elle n’est jamais contente de rien et se croit supérieure à tous ceux-là… Hautaine et méprisante, elle a déjà dit qu’elle cherchait du travail ailleurs. Pourtant, elle est toujours là…

 

Services aux auteurs

Vous êtes auteur, de romans, nouvelles, littérature jeunesse ou théâtre. Vous désirez proposer vos textes à un éditeur, en vue d’une éventuelle publication. Pour mettre tous les atouts de votre côté, ces derniers doivent être impeccables, tant dans la présentation que dans l’orthographe, la grammaire et la syntaxe.

La cohérence du récit, sa fluidité, son rythme sont importants pour accrocher le lecteur. Ils ne doivent eux non plus, pas être négligés.

L’écrivain public peut vous apporter son aide, en corrigeant votre texte et en vous faisant des propositions de réécriture, si besoin est.

Ma formation littéraire (maîtrise de lettres modernes) et mes années à côtoyer les livres et les lecteurs en tant que bibliothécaire, ainsi que mon diplôme d’écrivain public, font de moi l’interlocuteur idéal.

J’ai déjà effectué plusieurs « relecture-correction-réécriture » de nouvelles pour le compte d’une association, ainsi que de la correction de romans aux éditions le Dilettante et pour des particuliers. J’ai également été juré pour deux concours de nouvelles.

Quels que soient les thèmes ou le style de vos ouvrages, je propose un travail soigné et sérieux, sans jugement de valeur et toujours dans le respect de l’auteur. Ainsi, mes propositions de réécriture le sont uniquement par rapport au texte et à sa cohérence, à l’impact produit sur le lecteur.

Bien sûr, ma déontologie m’interdit de cautionner tout écrit à caractère raciste, insultant ou diffamant.

N’hésitez pas à faire appel à moi !